BARBECUE 15 JUIN 2008

Un barbecue, ça commence par se préparer... Alors là, y a plusieurs techniques :

Arnaud faisant semblant de travailler
Jean ne faisant pas semblant de ne pas travailler

 

Pierre surveille les gâteaux apéro
tandis que les PdLG sont en pleine contemplation... des assiettes !

 

Ah tiens, le père Thibault est arrivé et, comme par hasard, les troupes commencent à se bouger.

 

Mouais, enfin, on a beau dire, les assiettes ne se remplissent toujours pas !

Alors, pour pallier cette carence, on fit venir un élément toujours salvifique : la vache !

Qui n'était pas ici une simple exclamation !

Sonna finalement l'heure du Benedicite : Bon appétit !

Et les mines se réjouirent.

Hélas, la pluie tint à nous rafraîchir les idées et il y eu déplacement des tables à l'intérieur, avec tout ce que cela implique de chutes, de douleurs profondes.

On finit tout de même par réussir à prendre le dessert.

De façon encore champêtre si l'on en croit Marianne
mais surtout de façon délicieusement glaciale, isn't it ?

La trêve des guerriers s'acheva en même temps que le repas, et là... que dire devant un tel exemple sinistre ? Les mots me manquent pour qualifier ce combat, que dis-je, ce carnage !

 

Où l'on ne peut qu'admirer la sagesse des plus jeunes : "aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années ?"

 

Ou... ou... ou... ? Peut-être pas ?

La digestion rapidement effectuée, les plus jeunes suivirent l'exemple des plus âgés et notre barbecue se termina ainsi en... mêlée générale !

Ah, la "correction fraternelle", y a qu'ça d'vrai finalement !

 

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